Ce qu'il faut faire et ne pas faire pour réussir votre projet de reprise.
Vos compétences, vos savoir-faire, la maîtrise d'un métier, sont vos meilleurs atouts pour reprendre une PME.
Ce qu'il faut faire
• Abandonnez votre comportement de salarié qui souhaite « changer de vie, se reclasser », vous êtes devenu un entrepreneur !
• Privilégiez un domaine d'activités que vous connaissez,
• Choisissez votre entreprise-cible par rapport à vos attentes, vos compétences, et à vos capacités financières,
• Ne vous découragez pas trop rapidement. Vous devrez étudier plusieurs projets de reprise avant d'aboutir.
• Entre le premier contact et la signature de l'acte, il pourra s'écouler entre 3 et 18 mois,
• Effectuez le diagnostic financier, fiscal, social, de l'entreprise cible. Le prix d'achat et ses conditions en dépendent, ainsi que la viabilité de votre projet à moyen et long terme,
• Entourez-vous de conseillers lors des différentes étapes de votre projet,
• Recueillez l'adhésion de votre entourage à votre projet,
• Comblez vos lacunes éventuelles (en gestion, en informatique...) par une formation avant la reprise,
• Nouez des relations de confiance avec le cédant. Rassurez-le sur vos motivations, oeuvrez à le convaincre que vous êtes le repreneur idéal.
• Adhérez à un club ou une association pour rompre la solitude du repreneur.
Ce qu'il ne faut pas faire
• Racheter une entreprise en difficultés en croyant investir moins ; il faudra réinjecter des capitaux pour redresser l'affaire,
• Mettre tous vos fonds disponibles dans la reprise du capital. Gardez-en pour la suite !
• Reprendre dans un secteur totalement méconnu de vous,
• Négliger les difficultés d'implantation dans une région nouvelle,
• Vouloir aller trop vite,
• Se limiter à un audit incomplet de l'entreprise à reprendre pour faire des économies,
• Ignorer la culture de l'entreprise, ou pire : critiquer le mode de gestion et de management du cédant.
Source : Partenaire OSEO
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